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Code forestier, gratte-ciels, librairie, Maurice Koechlin, tour Eiffel, tour Montparnasse, Voltaire
L’autre début du jour, je remarquai cette camionnette et sa petite échelle (comme sur d’anciens véhicules utilitaires) mais elle a tendance à disparaître ou devient télescopique et se trouve rangée désormais à l’intérieur des fourgons.
Les seuls gratte-ciels « parisiens », exceptées la tour Montparnasse et la tour Eiffel (n’oublions pas Maurice Koechlin), dont la partie habitation supérieure est réduite à un souvenir historique – se trouvent du côté de La Défense. Il est vrai qu’une échelle peut servir à autre chose : alors, l’imagination escalade.
« Travaux d’accès difficile » !
Une fois la photo prise, je me suis aperçu que la Scenic sur la gauche, bien qu’immatriculée à Paris, portait un « L », d’origine sans doute anglaise, à la place du « A » indiquant le débutant ayant acquis récemment (en tout cas depuis moins d’un an) la très chère autorisation de conduire un véhicule à quatre roues.
Le pilote du scooter posait pourtant une question demeurée inaudible.
Ou alors : « L » comme « Licencié » : ayant obtenu le permis et pas seulement perdu son travail ?
Le restaurant s’appelait Voltaire : il avait dû en voir, des calèches, des femmes fardées, de jeunes hobereaux, insolents qui plus est.
Une librairie demeurait ouverte (meilleure vente : Code forestier, 20,90 €, papier).
Le calme, forcément trompeur, régnait en apparence.