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Hier matin, je suis arrivé sur le parvis du Centre Pompidou vers 9 heures pour l’expo Dali (salve à tort ?) car je croyais que j’allais pouvoir, grâce à ma carte d’adhérent N° 029 38 92, entrer dans le saint des saints dès 9 heures 30, il n’y avait presque personne alors qu’en temps « normal » il faut subir, dit-on, une ou deux ou trois heures de file d’attente.

Mais ce « privilège » – j’avais lu en diagonale le mail reçu il y a quelques jours du musée Beaubourg – n’est valable que les samedi et dimanche matin : sinon, c’est onze heures, l’ouverture et l’attente de l’expo et du musée, même contrainte pour ceux qui ne viennent pas spécifiquement admirer le peintre surréaliste chocolaté.

En attendant, j’ai donc fait un petit tour sur la « piazza » en pente, j’ai écouté les conversations des quelques personnes qui stationnaient déjà là, plus un groupe scolaire avec la prof en cheftaine, mon appareil a capté des photos machinalement et puis je suis reparti par la rue Rambuteau et son immeuble aux têtes innombrables, j’ai hélé juste à temps le bus 75.

La manifestation culturelle Salvador Dali se termine le 25 mars mais se prolonge « en nocturne » jusqu’à 23 heures (heure molle) : ses toiles extravagantes m’intéressent toujours, plus que le personnage lui-même qui cherchait trop souvent à les imiter.

L’après-midi, j’ai été refaire une visite au passage Verdeau (9e), pas loin de la Salle des ventes Drouot : là, pas besoin de ticket d’entrée pour cette galerie, et quelques minces volutes surréalistes demeurent dans les parages. On tentera peut-être de les saisir mercredi.

ParvisB1_DHParvisB2_DHParvisB3_DHParvisB4_DHParvisB5_DHParvisB6_DHParvisB7_DHParvisB8_DH(Photos agrandissables.)

(Erik Satie, Parade, Ragtime du paquebot)