En prenant le bus N° 2, le 29 avril en fin d’après-midi, pour aller changer l’horaire de mon billet/retour de TGV pour le lendemain à Paris, j’ai traversé quelques quartiers et suis passé devant Le Caméo. L’art marque parfois encore un essai.
Les bouleversements de la ville créent comme des tranchées de guerre (Metz a connu de ces périodes). Les passants paraissent quelque peu désemparés.
L’idée de la mescaline m’est venue quand j’ai aperçu au loin, depuis mon transport en commun, ce couple allongé dans un parc (il faisait beau lundi, le lendemain il a plu et c’était déplaisant).
Le « paradis artificiel » est sur terre : appelons-le du nom de « paradis réel ».
J’avais envoyé d’autres photos en direction de Twitter, durant ces deux jours à l’Est, mais je pense qu’il y a eu un problème : aucun d’entre eux n’était parvenu sur la plateforme de « micro-blogging ».
Il faut croire que l’exercice du jogging – un autre mode de déplacement – est nettement plus simple.
(Photos : cliquer ou bouger pour agrandir.)
[ ☛ à suivre]