Étiquettes
Antinea, Antinoüs, Danielle Carlès, Hervé Cristiani, l'ami Piero, rue Bichat (Paris 10e)
Rue Bichat (Paris, 10e), en allant rejoindre, hier matin, l’ami Piero, ailleurs cette fois-ci qu’au café Le Corbeau blanc (qui a visiblement jeté son enseigne par-dessus les moulins), je regardais la devanture du coiffeur Antinea et soudain j’ai repensé à cette mélopée d’Hervé Cristiani.
(Photo : cliquer pour effranger l’image.)
La musique – comme les simples chansons – nous empreintent, elles font partie de notre vie, longilignes portées invisibles, insaisissables, qui l’accompagnent.
Sans vouloir couper les cheveux en quatre, le lien de proximité avec Antinoüs m’a fait aussi me « connecter » en pensée à Danielle Carlès, et à son si beau flux de traductions : et je me disais que rien ne pourrait séparer dans le temps les années, les générations et leur futur indéterminé.