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"Vues d'en haut", André Devambez, Busby Berkeley, Centre Pompidou-Metz, Gus Van Sant, Margaret Bourke-White, Nadar, Robert Delaunay, skateboard, Tullio Cralli
En approchant du Centre Pompidou-Metz, que l’on aperçoit au loin, il y a cette montgolfière retenue par des câbles et ce skateboard park – on repense évidemment à Gus Van Sant – où l’audace du mouvement prévaut sur les chevilles cassées.
Le bâtiment du musée allie de manière engagée le bois et l’acier, avec des circonvolutions architecturales qui rivalisent avec la rigidité apparente du parallélépipède de son grand frère parisien.
L’expo principale actuelle se dénomme Vues d’en-haut (jusqu’au 17 octobre) et prend élan sur les premières photos aériennes (Nadar, vers 1860, depuis un aérostat !) puis les films qui ont donné aux peintres l’occasion de prendre du champ par rapport aux perspectives classiques.
L’espace s’élève alors en hauteur.
La richesse de cet « agglomérat » esthétique est impressionnante : le cadre où elle est mise en scène (avec accès à l’étage dominant certaines œuvres) participe de cet effet de surplomb qui chavire le regard.
(Soulever la photo ci-dessus.)
(Passer de l’autre côté des grilles.) 
(Pencher un peu la tête.)
(Entrer à l’intérieur.)
(Expo « Vues d’en haut » : Robert Delaunay, Tour Eiffel et jardins du Champ de Mars, 1922.)
(André Devambez, Avions fantaisistes, 1914.)
(Paul Strand & Charles Sheeler, Manhattan 1921, film muet 1921, 35 mm, 11’42, voir photo en dessous.)
(Brochure de la Junkere-Luftbild de Dessau, 1929.)
(Ilya Chashnik, Composition suprématiste, 1923.)
(Busby Berkeley, Dames, 1934, 35 mm sonore, 91′, extraits.)
(Tulio Cralli, In tuffo sulla città : En piqué sur la ville, 1939.)
(Margaret Bourke-White, Aerial View of a DC-4 Passenger Plane in Flight over Manhattan, 1.1.1939.)
(Agrandir les photos quand possibilité.)
(Steve Reich, Plaistow)
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