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hors-champ, Jean-Luc Godard, Le Corbeau blanc, Miloš Forman, travelling, vrais ou faux raccords
Penser à Miloš Forman (Au feu, les pompiers) puis à Jean-Luc Godard (l’homme à la palette, ici, qui dira bientôt Adieu au langage), suivre la femme, passant juste derrière la camionnette, et qui porte son escabeau comme un rail de travelling vertical, s’asseoir au Corbeau blanc (vrais ou faux raccords) et attendre la venue de Piero, en retard de plus d’un quart d’heure, mais profiter de ce laps(us) de temps pour prendre à nouveau quelques photos du café-restaurant à l’enseigne surréaliste.
Et le voilà enfin qui arrive, la tête couverte de sa casquette à longue visière. Mais le mini-film photographique est juste terminé : l’acteur principal restera donc hors-champ, au moins cette fois-ci.
Il faudrait peut-être écrire un scénario.
(photos : cliquer ou bouger pour agrandir l’immobilité.)
(Clifford Brown, Finders Keepers)