Étiquettes
"Heroin", "révolution de velours", "satellite, Lou Reed, musique, photos, Tchécoslovaquie, Velvet Underground
Que Lou Reed ait pu inspirer de loin ou de près « la révolution de velours » de Tchécoslovaquie en 1989 est l’un de ces clins d’œil de l’Histoire qui, dans les plus tristes situations, nous aide à prendre de la distance et à garder l’esprit heureux malgré tout.
Satellite, oui, sans doute.
Bizarre que j’aie mis récemment sur mon blog, le 11 octobre dernier, la chanson « Heroin » interprétée par Lou Reed au sein du Velvet Underground : prescience, prémonition, sensation, inconscience ?
Ce jour, suite de la publication des photos commencée hier dans la rubrique « musique » (les images chantent ou modulent parfois).
(Toutes les photos sont agrandissables.)
(Lou Reed, Peggy Sue)
[ ☛ The End ]
Julien Boutonnier a dit:
Les feuilles mortes, le jour qui vient malgré tout… Que faisons-nous de nos automnes? Je me sens triste.
Dominique Hasselmann a dit:
@ Julien Boutonnier : « Tuesday Morning », maintenant…
brigetoun a dit:
les photos chantent merveilleusement
surtout avec votre oeil derrière l’appareil
Dominique Hasselmann a dit:
@ brigetoun : c’est gentil, car mon téléphone… est plutôt rudimentaire sur le plan photo !
godart a dit:
Louis-Ferdinand Céline disait que plus l’on vieillissait et plus l’on s’alourdissait. La disparition récente de nombreux créateurs: …JJ Cale, Patrice Chéreau , Lou Reed, nous renvoie à ces années 70-80, dix ans brefs d’insouciances entre pilule et sida. Entremêlant leur énergie et leur créativité à notre propre cheminement, ils nous permettent de garder une certaine forme de légèreté, n’en déplaise à Céline.
Dominique Hasselmann a dit:
@ godart : mort à 67 ans, Céline avait déjà pris un certain poids…
Francesca a dit:
Etonnement devant cette amitié Bernard Comment/Lou Reed… merci du partage.
Dominique Hasselmann a dit:
Bernard Comment (« écrivain suisse », tel qu’il est présenté !), directeur de la collection « Fiction & Cie » au Seuil, a notamment publié un livre commentant des photos de Lou Reed.
(Chère Françoise, on voit que tu ouvres les liens !)
Francesca a dit:
Bien sûr ! J’ai lu son excellent recueil de nouvelles et j’ai lu quelques articles mais je le connais surtout comme traducteur de mon cher Antonio Tabucchi.
J’espère qu’il fera « quelque chose d’écrit » de cette amitié que l’on ne lui supposerait pas forcément.
@ Francesca : son interview le montre comme quelqu’un d’attachant. D.H.
PdB a dit:
enchaîner, cadenasser, encimenter et astreindre et discipliner par la force ce charmant potelet à cette barrière de métal composite est bien l’illustration de la cruauté inaltérable des hommes urbains (tes photos sont magiques)
Dominique Hasselmann a dit:
@ PdB : mais ne pas en faire une maladie, de ces « potelets »…
Des passantes agréables (ou potelées) peuvent nous les faire oublier !
PdB a dit:
Certes (mais chacun ses gimmicks…!) (je remarque qu’on aperçoit le reflet de l’ombre de l’opérateur juste au dessus de l’intitulé de la petite micra noire)
@ PdB : La Micra, oui, un clin d’œil ! D.H.
Pingback: Bloguer ou ne pas bloguer » Eva et Edward, l’or et l’argent